ft. Nam Joo Hyuk
Âge : Vingt et un ans
Nationalité : Coréen, le pays du matin calme coule dans mes veines
Etat civil : En couple depuis de nombreuses années, un amour de collège qui s'est mué en un repère, un pilier indispensable
Profession / études : Simple étudiant qui profite de la vie et d'un confort que mes parents se sont évertués à construire.
Situation financière : Confortable, si les billets n'abondent et ne fleurissent pas sous mes pieds, je jouis d'un quotidien sans jamais m'inquiéter du lendemain.
Domaine d'étude/métier : L'art, plus particulièrement la musique mais aussi le sport. Il coule dans mes veines, héritage d'un père qui a su transmettre son amour du sport à tous ses fils.
Groupe : Étudiants de l'université de Mokpo Sensible
Observateur
Artiste
Souriant
Mélancolique
hyper empathique
réservé
Loyal
Anecdotes & autres : Il est le petit dernier d’une famille de quatre enfants, mais il n’est jamais laissé à l’écart. Il sait qu’il peut compter sur l’aîné et les jumeaux. ☾ Ses parents sont un couple soudés et quelque peu célèbres. Ex champion de MMA, son père s’est depuis reconverti en coach émérite, un homme qui impose le respect de par sa carrure, mais aussi pour ses choix de vie. Sa mère, une avocate implacable qui remporte un à un ses procès est adorée pour sa beauté et sa gentillesse, mais aussi pour le soutien qu’elle porte à son mari depuis toujours. Un couple qui fait rêver Kyung et qui n’aspire qu’à avoir une relation aussi belle. ☾ Il a rencontré sa petite amie alors qu’ils n’étaient encore que collégiens. Puis c’est à l’âge de 14 ans qu’ils ont décidés de sortir ensemble. Un amour de jeunesse qui dure pourtant, et sept ans après, ils sont toujours ensemble. Complices et proches comme au premier jour, Kyung tient énormément à elle… mais est-ce vraiment de l’amour ? Malgré toute l’affection qu’il lui porte, il sent bien que quelque chose cloche, qu’il devrait s’avouer ce qu’il s’évertue à nier, mais accepter que son regard soit davantage attiré par les corps virils… hors de question ! ☾ Il a grandi dans une famille aimante et n’a donc jamais manqué de rien, et pourtant, il est le plus sensible de la famille. L’hyper empathie ? Plus qu’un simple trait de caractère pour lui, c’est une malédiction. Il ressent la douleur des autres comme si c’était la sienne et peu facilement se renfermer sur lui-même s’il ne parvient pas à trouver de solution pour sauver le monde. ☾ Il cache son attirance de même que sa sensibilité, de peur d’être moqué et pris pour le vilain petit canard de la famille Ahn, mais s’il sait que sa famille l’aime, il ignore que peu leur importent son orientation sexuelle, temps qu’il est heureux ! ☾ Il envisage sérieusement d’aller voir un Chaman pour tenter de se faire retirer ce qui ne va pas chez lui. ☾ Passionné de musique, il a d’abord (et comme tout le reste) caché cet intérêt à sa famille pour se tourner vers la natation et correspondre aux standard de la famille. Mais il s’est libéré en avouant sa passion à ses parents qui, depuis, l’ont réorienté dans une filière qui lui convenait plus. ☾ Tout comme son père à son époque, et comme ses frères ainés avant lui, Kyung est particulièrement populaire sur le campus. Souvent comparé au petit copain et au gendre idéal, les avis sont tranchés quant à sa relation avec sa petite amie : certains les voient comme le couple parfait, d’autres ne supportent pas de les voir ensemble et estiment qu’il perd son temps. ☾ L’intimité ? Bien sûr, il a déjà tenté avec elle, son tout, sa moitié, mais il ne s’est jamais senti complet. ☾
Un petit bout d'histoire : C’était agréable, comme chaque matin le week end à prendre le petit déjeuner en famille. J’appréciais particulièrement d’observer du coin de l’œil cet homme grand et fort enlacer sa petite femme alors qu’il l’empêchait de préparer le repas. Il avait des gestes tendres, un regard intense et un sourire à faire pâlir le soleil… cet homme ? Mon père, et dans ses bras cherchant à lui asséner un coup sur la tête qu’elle n’atteignait jamais, ma mère. Joueurs, rieurs, heureux et complices tout simplement. Ils étaient la représentation même de l’amour et de la réussite, et si tout n’avais pas été facile, aujourd’hui ils profitaient. Mes onyx glissèrent sur le jeune homme au sourire rêveur, presque semblable au mien, mais bien plus sûr de lui, mon frère. Il était la meilleure chose qu’il leur soit arrivé, un miracle qu’ils n’attendaient pas et qui les avait affranchis de toute la douleur qui les séparait. Personne ne le disait jamais, mais c’était grâce à lui, en partie, que cette famille existait et je lui en étais reconnaissant… c’était ridicule non ? Comment pouvait-on se montrer reconnaissant alors qu’on n’était même pas né, pas même conçu ? Mais il avait cette aura, cette présence réconfortante qui savait mettre à l’aise quiconque croisait son chemin. Puis il y avait les terreurs… les jumeaux. Mon frère et ma sœur ainés, de vrais piles électriques ! Encore et toujours en train de se chamailler à l’autre bout de la table et pourtant inséparables ! Peu importait le lieu, ils étaient toujours accrochés l’un à l’autre.
Puis mes perles noires chutèrent sur mes mains… j’aurais dû être heureux… j’étais heureux ! Ou du moins je tentais de me convaincre que je n’avais besoin de rien d’autre. Après tout, que fallait-il pour compléter un tableau déjà parfait ? Ce fut sa main qui glissa sur la mienne qui m’arracha à mes pensées, et automatiquement j’affichais un sourire bienveillant. Elle connaissait la maison, la famille, elle connaissait tout de moi si bien qu’elle était souvent conviée à ces repas, elle faisait partie de la famille… ou presque. Nous étions souvent comparés à mes parents, le grand sportif apprécié de tout le monde, et la petite étudiante toujours le nez fourré dans ses bouquins, et pourtant…
Elle fit glisser ses doigts pour enlacer les miens et d’un geste, je la rapprochais de moi pour épouser sa tempe de mes lèvres, un geste qui me valut les railleries des jumeaux, et la douceur du regard de mes parents. Je l’aimais, je l’adorais… mais pas suffisamment, pas comme il le fallait. Comment avouer aux êtres que l’on aime le plus sur terre que l’on est différent… et que l’on ne sera jamais comme eux ? Alors j’enfouissais ces pensées pour me concentrer sur le moment présent, les sourires, les rires, la joie et le bonheur pour oublier… ces pensées néfastes. Le vilain petit canard.
Pseudonyme : Bao
Prénom : Je suis une femme mystérieuse !
Âge : j'ai dépassé le quart de siècle
Pays : l'hexagone
As-tu une vie particulièrement active IRL?: 7/10 je dirais
Commentaire : Je ne viendrais pas seule, j'ai séduis mon binôme